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n° 72
Le 13 novembre 2004


DINER-CONFERENCE JIPANGO
L'aventure du Tokaido
Mardi 30 novembre
Le chef Michishita nous transporte sur la celebre route du Tokaido, le long de l'ocean pacifique, de Tokyo (autrefois denommee Edo) a Kyoto. Chacun promenera son bento (boite-repas traditionnelle) a la decouverte des specialites des regions parcourues par ce chemin de jadis : soba, sushis, anguille...
Auteur de l'epopee des samourais de L'epee reine (Ed. de l'Eveil), Olivier Gaurin (Jipango no 12, interview p.17 "Des valeurs inversees mais complementaires"), vous fera voyager avec eux dans les remous de l'histoire. Cette conference sera specialement eclairee par une projection d'illustrations choisies sur la naissance de l'ere d'Edo au Japon.
Conference à 18h30. 5 €. Gratuite pour les membres du club Jipango.
Diner à 19h30. 30€.
Reservation par e-mail (jipango@noos.fr)



Une mine d’informations et de connexions franco-japonaises
Web magazine : Jipango+ vous informe tous les mois des dernières tendances au Japon et des nouveautés japonaises en France. (“En direct du Japon” et “C’est nouveau, c’est japonais”).
Connexions franco-japonaises : des activités originales et conviviales, animées par des spécialistes du Japon : café-voyageur , café-conversation, café-littéraire, café-culture, café-travail.
Invitations exclusives réservées en priorité : vernissages de Jipango, concerts, spectacles…
Avantages : réductions dans les magasins d’alimentation et d’objets japonais. Tarifs préférentiels pour les activités de Jipango.
Journal Jipango : envoi à domicile.
La cotisation annuelle est de 25 €. Pour vous inscrire : jipango@noos.fr

TRIPLE CHANCE!
Plus d’informations prochainement pour gagner un des trois billets d’avion pour le Japon en répondant à notre enquête "Le voyage au Japon".

NUMERO D'AUTOMNE
Plus petit et plus pratique, le Jipango adopte à partir de ce numéro le format A5 qui correspond à celui du guide 100 regards inédits sur le Japon (www.jipango.com/guide). Trois nouvelles rubriques viennent également l'enrichir : En direct du Japon, Rencontre, Agenda culturel. Le dossier « 100 voyages inédits au Japon » des numéros d’automne 2004 et de printemps 2005, proposeront une foule d’idées de voyage en dehors des sentiers battus.
Pour recevoir le magazine par courrier, envoyez une enveloppe A5 timbrée (1.11 €/France, 1.20 €/EU, 2.40 €/Canada, Japon), libellée à vos nom et adresse, à l'association Jipango, 64 bd de Sébastopol 75003 Paris.



• Tokyozone 2004, le festival artistique du Japon contemporain [1 – 3 déc.]


• Nobody knows, Kore-eda filme quatre enfants abandonnés dans Tokyo [sortie le 10 nov.]
• Webfilms, l’avant-garde du court-métrage made in Japan [jeudi 25 nov.]
• Cycle de documentaires sur le Japon : Japon rural et industriel des années ’60 [26 et 27 nov.]


• Hiroshi Sugimoto, formes et photos conceptuelles [13 nov. – 27 févr.]
• Shinjuku, photographies en noir et blanc
• La guérilla Moro aux Philippines [3 – 30 nov.]
• Hurry 3000, nouvelle exposition des ‘bandes-sculptées’ de Natsusaka [5 – 29 nov.]
• 1400 ans d’histoire du Japon en calligraphies [19 nov. – 12 déc.]
• Exposition de céramiques raku par Tien Wen [3 – 27 nov.]


• Musiques contemporaines : Aki Onda, Jojo Hiroshige, Kokekoncert et soirée électro
• Musiques jazz : concerts de Masayoshi Urabe et Sachi.B


• « Ne pas tomber », duo de danse équilibriste du coréen Jung Young-doo [19 & 20 nov.]
• Absence, duo butô de Juju Alishina et Ippei Hosaka [23 & 24 nov.]


• L’esprit du bambou, dédicace du dernier livre de Dominique Buisson [13 nov.]
• Mishima vu par le jeune romancier Keiichirô Hirano [2 déc.]


(Disponible également sur le site www.jipango.com "rubrique Info"
Pour ancien numéros.


Tokyozone 4 – le festival artistique du Japon contemporain
www.tokyozone.org
Après 3 années d’expérience, le festival Tokyozone a su enrichir son projet de départ, faire découvrir un Japon artistiquement novateur et touche-à-tout, par des collaborations avec des artistes français. Le programme 2004 multiplie ces rencontres inattendues, par exemple entre le trompettiste Jac Berrocal et la musicienne nippone Venus Fly Trapp (mercredi 1er au Divan du Monde), voire posthume avec le ciné-concert « Jeunes filles japonaises au port », de Shimizu, mis en musique par le compositeur Pierre Bastien (vendredi 3 à Enghien). Et on apprécie d’autant mieux les inédits 2004, comme ces performances culinaires du chef japonais Hissa Takeuchi, que Tokyozone couvre un large champ de la création japonaise contemporaine. Avec des programmes vidéo (Takagi Masakatsu, animation, 3D) et musicaux (label Progressiv Form, le bidouilleur Mathieu Martin, le trompettiste Itaru Oki) toujours aussi inclassables, et un retour à la danse contemporaine, oubliée les précédentes années (la franco-japonaise Mié Coquempot et les programmes vidéos de deux collectifs).
Programme bientôt en ligne sur www.tokyozone.org
01/12 : Centre Pompidou et Divan du Monde
www.cnac-gp.fr / www.divandumonde.com
02/12 : Divan du Monde et Centre des Arts d’Enghien
03/12 : Centre des Arts d’Enghien
12/16 rue de la Libération, 95880 Enghien-les-Bains
tél 01 30 10 88 91


Nobody knows, le nouveau film de Hirokazu Kore-eda
www.daremoshiranai.com
‘Nobody knows’, personne ne sait, personne ne savait qu’un appartement défraîchi de Tokyo abritait 4 gamins abandonnés à leur sort. C’était en 1988, et le fait-divers dit des « quatre enfants abandonnés de Nishi-Sugamo » avait beaucoup marqué les esprits au Japon. Le réalisateur Kore-eda mûrissait un film sur le sujet depuis plus de 15 ans, et, après trois longs-métrages qui l’ont révélé au public européen (notamment ‘Distance’, en 2001), il s’est mis à la tâche. Casting impeccable : les quatre jeunes acteurs de cette fratrie abandonnée dégagent un charme unique, endurcis mais fragiles, joueurs silencieux entre les quatre murs d’un appartement exigu. L’aîné, Akira, remporte même le prix d’interprétation masculine du festival de Cannes 2004. ‘Nobody knows’ laisse difficilement insensible, il surfe sur la compassion du spectateur et brosse en creux l’image d’un Japon peu reluisant fait de parents inconscients, de solitudes, et de secrets qu’on préfère ne pas s’avouer.
Japon, 2004, 2h21
sortie le 10 novembre


Webfilms ‘made in Japan’
www.lesiteducube.com
Une soirée nippone et audiovisuelle au Cube, avec à la baguette le site Internet Open Art qui présente 16 format courts (de 40 secondes à 12 minutes) réalisés par de jeunes créateurs japonais entre 2002 et aujourd’hui. OpenArt est un gigantesque portail, le plus important du Japon, créé en 1999 et qui propose plus de 500 films en tous genres, en accès gratuit et 24h/24 ! www.open-art.tv
Photos : “Gravitation” de Atsuko Ishizuka et “Metro” de Junpei Mizokawa.
le jeudi 25 novembre, 20h30
@ Le Cube
20, cours St-Vincent, 92130 Issy-les-moulineaux
tél. 01 58 88 3000
tarifs : 3 euros, 2 euros (TR)


Cinémas & cultures d’Asie
www.asiexpo.com
L’association Asiexpo aura finalement réussi à faire de ses soirées ‘animation japonaise’ un véritable petit festival du cinéma asiatique. Elle se paye même le luxe de présenter cette année en première internationale un panorama du ciné indépendant chinois. Côté Japon, la programmation permet de voir en avant-première le ‘Cha no Aji’ de Katshuhito Ishii (19/11, 20h, au Max Linder), primé à Cannes 2004, et la nouvelle animation de Satoshi Kon, ‘Tokyo Godfathers’ (20/11, minuit, Max Linder). Allez aussi découvrir ‘Bijocan’ (15/11, 20h, Reflet Médicis), ‘Snow in spring’ (15/11, 22h, Reflet Médicis) et le dessin-animé ‘Paradise Dolls’ (18/11, 20h, Reflet Médicis) de peur qu’ils ne sortent jamais en France ; et surtout (re)voir un chef d’œuvre du déjantement cinématographique, le ‘Happiness of Katakuris’ de Takashi Miike (voir photo).
du 15 au 20 novembre
@ cinémas Reflet Médicis et Max Linder
3 rue Champollion, Paris 5e / 24 bd Poissonière, Paris 9e
tarifs : 7.5 et 6.5 euros la séance, 52 euros 10 tickets


Le Japon en documentaires inédits
www.mcjp.asso.fr
Le Japon vu par Armand Chartier et Jean Boffety, réalisateurs de films pour le compte du Ministère de l’agriculture dans les années ’60, vaut le détour pour plusieurs raisons. Les 5 documentaires présentés par la Mcjp ont été tournés lors d’un périple au Japon en 1963-1964. L’objectif de ce voyage était pédagogique : dresser un portrait du Japon des années ’60, mais pas sans considération esthétiques, car Jean Boffety et Armand Chartier étaient proches des réalisateurs de la Nouvelle Vague.
Ils ramènent donc les images d’un Japon rural où le travail de la terre est encore essentiel (‘Au pays des quatre vertus’, ‘Heures paysannes du Japon’), marqué par la figure des « paysannes pêcheuses » (‘Hamas’, film de 25’ sans commentaire), un Japon laborieux et industriel qui produit à tours de bras (‘De Tokyo à Kyoto’), mais aussi un Japon en pleine mutation entre l’enclume des traditions et le marteau de la modernité (‘Honorable Japon’).
En décembre : projections de ‘Paris-Tokyo andante’ (documentaire sur la violoniste Yôko Mori, les 3 et 4/12) et de ‘Kimiko-san’ de la japonologue Martine Jullien (les 10 et 11/12).
projections les vendredi 26 et samedi 27 novembre
@ Maison de la Culture du Japon à Paris
(voir carnet d’adresses)
entrée libre


Conceptual Forms, photos de Hiroshi Sugimoto
www.fondation.cartier.com
Hiroshi Sugimoto, après deux rétrospectives le mois dernier de ses séries ‘Architecture’ et de ses étendues marines, présente ses travaux les plus récents sous le nom ‘Conceptual Forms’. La construction même de cette nouvelle série donne à réfléchir, décomposée en ‘Mechanical forms’ et ‘Mathematical forms’, qui comprend deux sous-ensembles, ‘Surfaces’ et ‘Curves’. Il faut dire que les modèles de Sugimoto sont particuliers, des objets scientifiques du 19e siècle détenus par le musée de l’Université de Tokyo. Ces modèles de plâtre, posés sur fond noir, inspirent pourtant une magie étrangement humaine aux photos de Sugimoto.
du 13 novembre au 27 février
@ Fondation Cartier
261 bvd Raspail, Paris 14e
01 42 18 56 77


Shinjuku
Loin du conceptualisme photographique, l’Espace Japon expose les photographies prises par Koichi Igarashi à Shinjuku, dans ce quartier tentaculaire de l’ouest de Tokyo qui change si vite de visage qu’il semblait urgent de lui tirer le portait en noir et blanc.
du 23 novembre au 4 décembre
@Espace Japon
(voir carnet d’adresses)


Bangsamoro : l’Islam aux Philippines, photos de Paul Hama-Prévost
Le photographe franco-japonais Paul Hama-Prevost, photo-reporter de 23 ans, est installé aux Philippines où il a rencontré la guérilla et la résistance. Dans le sud de l’archipel, dans la région du Mindanao musulman, le peuple Moro entretient une lutte indépendantiste depuis l’invasion espagnole au 16e siècle. La lutte s’est politisée dans les années ’70, mais elle s’englue aujourd’hui dans un interminable cycle de négociations et d’affrontements. C’est à cette population, qui lutte mais qui souffre surtout, que s’est intéressé Paul Hama-Prevost, illustrant plusieurs facettes de la vie quotidienne dans le sud des Philippines entre la pratique de la foi, la menace de la guerre et la pauvreté omniprésente.
du 3 au 30 novembre
@ Centre Culturel Franco-Japonais
(voir carnet d’adresses)


Hurry 3000
www.kambanart.com
Figurine + photo + texte = ‘bande sculptée’. L’artiste japonais Shin-ichiro Natsusaka a décidé que la BD ne devait pas rester dans des albums, mais plutôt s’animer sous forme de figurines. Il crée ses personnages à partir de BD (Moebius, Bilal) ou de films (‘L’étrange Noël de M. Jack’ de Tim Burton), les place dans un décor et anime ainsi des récits en trois dimensions. Après Kambanart, sa nouvelle création ‘Hurry 3000’ met en scène un super-héros du XXXe siècle ( !!) qui revient à la vie pour sauver le monde…le tout à partir de figurines et sur fond de dessins : un travail d’orfèvre.
exposition du 5 au 29 novembre
@ galerie Job’Art
25 rue Keller, Paris 11e
ouvert tlj 12 :00/20 :00


Calligraphies anciennes et contemporaines (8e - 21e siècle)
www.kokoroorientalart.com
Plus de 1400 ans d‚histoire du Japon en 25 calligraphies. La galerie Kokoro a réuni en une poignée d'œuvres exceptionnelles comme un condensé de l‚histoire de la calligraphie japonaise. Les plus anciennes, des fragments de sutra des périodes Nara (710-794) et Heian (794-1184), sont même réalisées à l‚or fin sur du papier indigo.
du 19 novembre au 12 décembre
@ galerie Kokoro
56 rue Quincampoix, Paris 1er
01 48 04 30 18 / 06 03 01 40 44


céramiques raku de Tien-Wen
www.ccfj-paris.org
Artiste taïwanaise imprégnée de culture occidentale, Tien Wen a emprunté à l‚art japonais de la céramique la technique du raku. Elle obtient par la rigueur et le hasard du feu des œuvres épurées, aux lignes simples et proches du matériau.
du 3 au 27 novembre
@ Centre Culturel Franco-Japonais
(voir carnet d‚adresses)


musiques contemporaines du Japon
Adepte de l’électroacoustique lo-fi et de l’enregistrement sur bandes des sons du quotidien, Aki Onda est flatté par la critique mais ses performances scéniques sont rarement des moments inoubliables. Il sait néanmoins s’entourer de musiciens aux styles variés, toujours dans une esthétique minimaliste, comme sur ses trois albums précédents (Noël Akchote, Mami-chan…) et comme lors de ce concert avec le guitariste Alan Licht. Lui aussi aime les collaborations (Arto Lindsay, Jim O’Rourke), le free-jazz et les boucles sonores qui composent ses pièces pour guitares ou pour orgues. Une rencontre entre deux facettes de la musique minimaliste actuelle, avec en première partie un autre duo inattendu. Jojo Hiroshige, guitariste du groupe culte et hystérique Hijokaïdan, tout en guitares lourdes et voix écorchée + le duo nippon hypnotique Doodles.
le jeudi 18 novembre, 20 :30
@ Point Ephémère
190 quai de Valmy, Paris 10e
entrée 8 euros
01 40 34 02 48 / www.poinephemere.org

Le lendemain aux Voûtes, soirée noise et free music marquée par la présence de Jean-François Pauvros, guitariste bruyant et icône de la musique improvisée française, et les mange-disques de Dustbreeders. Curieuse coïncidence, ils se produiront tous les deux avec des ‘guest-star’ japonaises dont les noms sont tenus secrets… www.kokeko.net
le vendredi 19 novembre
@ Les Voûtes
91 quai Panhard&Levassor, Paris 13e
entrée 8 euros
www.lesvoutes.org

Nettement moins expérimentale, la soirée ‘Japan is not only sushi’ invite des Dj’s groove et électro : Fisherman-price, Umaibo Daisuki et la japonaise Venus Fly-trapp (voir Tokyozone dans la rubrique ‘Nouveautés’), le Vj Aï-Hz, un stand du select-shop ‘culotte’ et le collectif de graphistes pineapplefish.
le samedi 20 novembre de 19 :00 à 02 :00
@ OPA
9 rue Biscornet, Paris 12e


Jazz : Masayoshi Urabe / Sachi b
Pour qui s’intéresse aux musiciens japonais, impossible d’ignorer Masayoshi Urabe. Saxophoniste hors-pair, hors des sentiers battus, contorsionniste et expérimentateur. Urabe était en tournée le mois dernier mais pas le temps de raccrocher les instruments : il est attendu en solo au Studio Shala le dimanche 14 novembre à 18 :00, 8 rue Beaumarchais, à Montreuil (M° Croix de Chavaux, entrée 10 euros + boisson – réservation conseillée 01 48 51 01 94).
Dans le cadre du festival Jazzycolors 2004 aura lieu le premier concert de Sachi.B. ‘Sachi’ pour Sachiko Koike, la voix du groupe Mah-Jong, qui chante du jazz comme elle sait si bien le faire accompagnée du batteur Ichiro Onoe, du pianiste Eric Yamamoto et du contrebassiste Duylinh Nguyen. Le concert aura lieu le jeudi 18 novembre au Centre Culturel Tchèque, 18 rue Bonaparte, dans le 6e arrondissement (à 20 :00, entrée 8 et 5 euros – 01 53 73 00 22 / http://www.czechcentres.cz/paris/novinky.asp).

J Dance 2004
www.mcjp.asso.fr
Jung Young-doo, jeune danseur et chorégraphe sud-coréen, vient de remporter au Japon les deux prix du Yokohama Dance Collection 2004, qui permet depuis 1996 aux étoiles de la danse moderne japonaise de venir présenter leurs créations aux soirées J Dance de la Mcjp. Après les venues de Kim Itoh, Takeshi Yazaki, ou Jô Kanamori, Jung Young-doo annonce un programme minimaliste. Trois chorégraphies au style dépouillé et sensuel, dont le duo récompensé à Yokohama, ‘Ne pas tomber’. Dans cette pièce intimiste, exécutée au son d’une sorte de violon coréen, le haegeum, la partenaire de Young-doo évolue sur le danseur, s’accrochant à lui et essayant de ne jamais toucher le sol.
photo © Yoichi Tsukada
les 19 et 20 novembre, 20 :30
@ Maison de la Culture du Japon
(voir carnet d’adresses)
tarifs : 12 et 15 euros (10 et 12 en TR)


Absence, duo butô de Juju Alishina et Ippei Hosaka
http://dansenuba.9online.fr/
Formée à la danse traditionnelle et fondatrice de la compagnie ‘Nuba’, Juju Alishina enseigne et danse un nouveau style de danse buto. Entre le classique et l’avant-garde, comme dans ses précédents spectacles présentés à Paris, où elle vit et travaille (‘Kaï’, ‘Rien à casser dans le noir’). ‘Absence’ est la dernière création de Juju Alishina, composée de deux chorégraphies en solo puis en duo (avec Ippei Hosaka).
photo © Thomy Laetsch
les mardi 23 et mercredi 24 novembre, 20 :30
@ Espace Culturel Bertin Poirée
(voir carnet d’adresses)
www.tenri-paris.com


L’esprit du bambou : dédicace du livre de Dominique Buisson
www.itineraires.com
Artisanat, architecture, peinture, mobilier, accessoires… On ne compte plus les usages que les Japonais font du bambou, « matériau fondamental (qui) a façonné l’imaginaire, l’esthétique et la vie quotidienne de tout un peuple » comme l’écrit Dominique Buisson. Cette spécialiste de l’esthétique japonaise (elle est l’auteur de 6 livres sur le papier, l’artisanat, l’architecture, le corps au Japon) et professeur d’arts plastiques dédicacera à la librairie Itinéraires « L’esprit du bambou au Japon » (éditions P.Picquier, 2004).
le samedi 13 novembre à partir de 16 :00
@ librairie Itinéraires
60 rue St-Honoré, Paris 1er
lundi-samedi, 10 :00/19 :00


Mishima vu par l’écrivain Keiichirô Hirano
www.mcjp.asso.fr
Lauréat du glorieux prix Akutagawa (le Goncourt nippon) à seulement 23 ans avec son premier roman, ‘L’éclipse’ (voir photo), le jeune auteur Keiichirô Hirano a vite été comparé à Mishima : jeune âge mais maturité de l’écriture, langue précieuse, récits empreints de métaphysique… L’admiration de Hirano pour Mishima est réelle, d’où l’invitation de la Mcjp pour parler des œuvres du grand auteur japonais, particulièrement ‘Le pavillon d’or’. Reste à savoir si cette admiration ne se berce pas de quelques illusions lorsque Keiichirô Hirano affirme : « aujourd’hui, nombre de Japonais, y compris la nouvelle génération, reconnaissent la justesse des prédictions de Mishima, et cherchent dans ses paroles des solutions ».
le jeudi 2 décembre, 17 :30
@ Maison de la Culture du Japon à Paris
(voir carnet d’adresses)
entrée libre sur réservation : 01 44 37 95 01


Photos : DR
Réalisé par Guillaume Loiret et Postics


Maison de la Culture du Japon à Paris
101 bis quai Branly 75015 Paris
Tél : 01 44 37 95 00
http://www.mcjp.asso.fr

Espace culturel Bertin Poirée
8-12 rue Bertin Poirée 75001 Paris
Tél : 01 44 76 06 06
bertin.poiree@wanadoo.fr
http://perso.wanadoo.fr/asstenri


Centre Culturel Franco-Japonais
8/10 passage Turquetil 75011 Paris
Tél : 01 43 48 83 64
http://www.ccfj-paris.org

Espace Japon
9 rue de la Fontaine au Roi 75011 Paris
tél : 01 47 00 77 47 / infos@espacejapon.com
http://www.espacejapon.com