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DINER-CONFERENCE JIPANGO
L'aventure du Tokaido
Mardi 30 novembre
Le chef Michishita nous transporte sur la celebre route du Tokaido,
le long de l'ocean pacifique, de Tokyo (autrefois denommee Edo)
a Kyoto. Chacun promenera son bento (boite-repas traditionnelle)
a la decouverte des specialites des regions parcourues par ce chemin
de jadis : soba, sushis, anguille...
Auteur de l'epopee des samourais de L'epee reine (Ed. de
l'Eveil), Olivier Gaurin (Jipango no 12, interview p.17 "Des
valeurs inversees mais complementaires"), vous fera voyager
avec eux dans les remous de l'histoire. Cette conference sera specialement
eclairee par une projection d'illustrations choisies sur la naissance
de l'ere d'Edo au Japon.
Conference à 18h30. 5 €. Gratuite pour les membres
du club Jipango.
Diner à 19h30. 30€.
Reservation par e-mail (jipango@noos.fr)
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Une mine d’informations et
de connexions franco-japonaises
Web magazine : Jipango+ vous informe tous
les mois des dernières tendances au Japon et des nouveautés
japonaises en France. (“En direct du Japon” et “C’est
nouveau, c’est japonais”).
Connexions franco-japonaises : des activités
originales et conviviales, animées par des spécialistes
du Japon : café-voyageur , café-conversation, café-littéraire,
café-culture, café-travail.
Invitations exclusives réservées en priorité
: vernissages de Jipango, concerts, spectacles…
Avantages : réductions dans les magasins
d’alimentation et d’objets japonais. Tarifs préférentiels
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Journal Jipango : envoi à domicile.
La cotisation annuelle est de 25 €. Pour vous inscrire : jipango@noos.fr
TRIPLE CHANCE!
Plus d’informations prochainement pour gagner un des
trois billets d’avion pour le Japon en répondant à
notre enquête "Le voyage au Japon".
 NUMERO
D'AUTOMNE
Plus petit et plus pratique, le Jipango adopte à
partir de ce numéro le format A5 qui correspond à
celui du guide 100 regards inédits sur le Japon
(www.jipango.com/guide).
Trois nouvelles rubriques viennent également l'enrichir :
En direct du Japon, Rencontre, Agenda culturel. Le dossier «
100 voyages inédits au Japon » des numéros d’automne
2004 et de printemps 2005, proposeront une foule d’idées
de voyage en dehors des sentiers battus.
Pour recevoir le magazine par courrier, envoyez une enveloppe
A5 timbrée (1.11 €/France, 1.20 €/EU, 2.40 €/Canada,
Japon), libellée à vos nom et adresse, à l'association
Jipango, 64 bd de Sébastopol 75003 Paris.
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• Tokyozone 2004, le festival
artistique du Japon contemporain [1 – 3 déc.]
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• Nobody knows, Kore-eda filme
quatre enfants abandonnés dans Tokyo [sortie le 10 nov.]
• Webfilms, l’avant-garde
du court-métrage made in Japan [jeudi 25 nov.]
• Cycle de documentaires sur
le Japon : Japon rural et industriel des années ’60
[26 et 27 nov.]
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• Hiroshi Sugimoto, formes
et photos conceptuelles [13 nov. – 27 févr.]
• Shinjuku, photographies
en noir et blanc
• La guérilla Moro
aux Philippines [3 – 30 nov.]
• Hurry 3000, nouvelle exposition
des ‘bandes-sculptées’ de Natsusaka [5 –
29 nov.]
• 1400 ans d’histoire
du Japon en calligraphies [19 nov. – 12 déc.]
• Exposition de céramiques
raku par Tien Wen [3 – 27 nov.]
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• Musiques contemporaines
: Aki Onda, Jojo Hiroshige, Kokekoncert et soirée électro
• Musiques jazz : concerts de
Masayoshi Urabe et Sachi.B
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• « Ne pas tomber »,
duo de danse équilibriste du coréen Jung Young-doo
[19 & 20 nov.]
• Absence, duo butô
de Juju Alishina et Ippei Hosaka [23 & 24 nov.]
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• L’esprit du bambou,
dédicace du dernier livre de Dominique Buisson [13 nov.]
• Mishima vu par le jeune
romancier Keiichirô Hirano [2 déc.]
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(Disponible également
sur le site www.jipango.com
"rubrique Info"
Pour
ancien numéros.
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Tokyozone
4 – le festival artistique du Japon contemporain
www.tokyozone.org
Après 3 années d’expérience, le festival
Tokyozone a su enrichir son projet de départ, faire découvrir
un Japon artistiquement novateur et touche-à-tout, par des
collaborations avec des artistes français. Le programme 2004
multiplie ces rencontres inattendues, par exemple entre le trompettiste
Jac Berrocal et la musicienne nippone Venus Fly Trapp (mercredi
1er au Divan du Monde), voire posthume avec le ciné-concert
« Jeunes filles japonaises au port », de Shimizu, mis
en musique par le compositeur Pierre Bastien (vendredi 3 à
Enghien). Et on apprécie d’autant mieux les inédits
2004, comme ces performances culinaires du chef japonais Hissa Takeuchi,
que Tokyozone couvre un large champ de la création japonaise
contemporaine. Avec des programmes vidéo (Takagi Masakatsu,
animation, 3D) et musicaux (label Progressiv Form, le bidouilleur
Mathieu Martin, le trompettiste Itaru Oki) toujours aussi inclassables,
et un retour à la danse contemporaine, oubliée les
précédentes années (la franco-japonaise Mié
Coquempot et les programmes vidéos de deux collectifs).
Programme bientôt en ligne sur www.tokyozone.org
01/12 : Centre Pompidou et Divan du Monde
www.cnac-gp.fr / www.divandumonde.com
02/12 : Divan du Monde et Centre des Arts d’Enghien
03/12 : Centre des Arts d’Enghien
12/16 rue de la Libération, 95880 Enghien-les-Bains
tél 01 30 10 88 91
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Nobody
knows, le nouveau film de Hirokazu Kore-eda
www.daremoshiranai.com
‘Nobody
knows’, personne ne sait, personne ne savait qu’un appartement
défraîchi de Tokyo abritait 4 gamins abandonnés
à leur sort. C’était en 1988, et le fait-divers
dit des « quatre enfants abandonnés de Nishi-Sugamo
» avait beaucoup marqué les esprits au Japon. Le réalisateur
Kore-eda mûrissait un film sur le sujet depuis plus de 15
ans, et, après trois longs-métrages qui l’ont
révélé au public européen (notamment
‘Distance’, en 2001), il s’est mis à la
tâche. Casting impeccable : les quatre jeunes acteurs de cette
fratrie abandonnée dégagent un charme unique, endurcis
mais fragiles, joueurs silencieux entre les quatre murs d’un
appartement exigu. L’aîné, Akira, remporte même
le prix d’interprétation masculine du festival de Cannes
2004. ‘Nobody knows’ laisse difficilement insensible,
il surfe sur la compassion du spectateur et brosse en creux l’image
d’un Japon peu reluisant fait de parents inconscients, de
solitudes, et de secrets qu’on préfère ne pas
s’avouer.
Japon, 2004, 2h21
sortie le 10 novembre
Webfilms ‘made in
Japan’
www.lesiteducube.com
 Une
soirée nippone et audiovisuelle au Cube, avec à la
baguette le site Internet Open Art qui présente 16 format
courts (de 40 secondes à 12 minutes) réalisés
par de jeunes créateurs japonais entre 2002 et aujourd’hui.
OpenArt est un gigantesque portail, le plus important du Japon,
créé en 1999 et qui propose plus de 500 films en tous
genres, en accès gratuit et 24h/24 ! www.open-art.tv
Photos : “Gravitation” de Atsuko Ishizuka et “Metro”
de Junpei Mizokawa.
le jeudi 25 novembre, 20h30
@ Le Cube
20, cours St-Vincent, 92130 Issy-les-moulineaux
tél. 01 58 88 3000
tarifs : 3 euros, 2 euros (TR)
Cinémas & cultures
d’Asie
www.asiexpo.com
L’association Asiexpo aura finalement réussi à
faire de ses soirées ‘animation japonaise’ un
véritable petit festival du cinéma asiatique. Elle
se paye même le luxe de présenter cette année
en première internationale un panorama du ciné indépendant
chinois. Côté Japon, la programmation permet de voir
en avant-première le ‘Cha no Aji’ de Katshuhito
Ishii (19/11, 20h, au Max Linder), primé à Cannes
2004, et la nouvelle animation de Satoshi Kon, ‘Tokyo Godfathers’
(20/11, minuit, Max Linder). Allez aussi découvrir ‘Bijocan’
(15/11, 20h, Reflet Médicis), ‘Snow in spring’
(15/11, 22h, Reflet Médicis) et le dessin-animé ‘Paradise
Dolls’ (18/11, 20h, Reflet Médicis) de peur qu’ils
ne sortent jamais en France ; et surtout (re)voir un chef d’œuvre
du déjantement cinématographique, le ‘Happiness
of Katakuris’ de Takashi Miike (voir photo).
du 15 au 20 novembre
@ cinémas Reflet Médicis et Max Linder
3 rue Champollion, Paris 5e / 24 bd Poissonière, Paris 9e
tarifs : 7.5 et 6.5 euros la séance, 52 euros 10 tickets
Le Japon en documentaires
inédits
www.mcjp.asso.fr
Le Japon vu par Armand Chartier et Jean Boffety, réalisateurs
de films pour le compte du Ministère de l’agriculture
dans les années ’60, vaut le détour pour plusieurs
raisons. Les 5 documentaires présentés par la Mcjp
ont été tournés lors d’un périple
au Japon en 1963-1964. L’objectif de ce voyage était
pédagogique : dresser un portrait du Japon des années
’60, mais pas sans considération esthétiques,
car Jean Boffety et Armand Chartier étaient proches des réalisateurs
de la Nouvelle Vague.
Ils ramènent donc les images d’un Japon rural où
le travail de la terre est encore essentiel (‘Au pays des
quatre vertus’, ‘Heures paysannes du Japon’),
marqué par la figure des « paysannes pêcheuses
» (‘Hamas’, film de 25’ sans commentaire),
un Japon laborieux et industriel qui produit à tours de bras
(‘De Tokyo à Kyoto’), mais aussi un Japon en
pleine mutation entre l’enclume des traditions et le marteau
de la modernité (‘Honorable Japon’).
En décembre : projections de ‘Paris-Tokyo andante’
(documentaire sur la violoniste Yôko Mori, les 3 et 4/12)
et de ‘Kimiko-san’ de la japonologue Martine Jullien
(les 10 et 11/12).
projections les vendredi 26 et samedi 27 novembre
@ Maison de la Culture du Japon à Paris
(voir carnet d’adresses)
entrée libre
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Conceptual
Forms, photos de Hiroshi Sugimoto
www.fondation.cartier.com
Hiroshi
Sugimoto, après deux rétrospectives le mois dernier
de ses séries ‘Architecture’ et de ses étendues
marines, présente ses travaux les plus récents sous
le nom ‘Conceptual Forms’. La construction même
de cette nouvelle série donne à réfléchir,
décomposée en ‘Mechanical forms’ et ‘Mathematical
forms’, qui comprend deux sous-ensembles, ‘Surfaces’
et ‘Curves’. Il faut dire que les modèles de
Sugimoto sont particuliers, des objets scientifiques du 19e siècle
détenus par le musée de l’Université
de Tokyo. Ces modèles de plâtre, posés sur fond
noir, inspirent pourtant une magie étrangement humaine aux
photos de Sugimoto.
du 13 novembre au 27 février
@ Fondation Cartier
261 bvd Raspail, Paris 14e
01 42 18 56 77
Shinjuku
Loin
du conceptualisme photographique, l’Espace Japon expose les
photographies prises par Koichi Igarashi à Shinjuku, dans
ce quartier tentaculaire de l’ouest de Tokyo qui change si
vite de visage qu’il semblait urgent de lui tirer le portait
en noir et blanc.
du 23 novembre au 4 décembre
@Espace Japon
(voir carnet d’adresses)
Bangsamoro : l’Islam
aux Philippines, photos de Paul Hama-Prévost
Le
photographe franco-japonais Paul Hama-Prevost, photo-reporter de
23 ans, est installé aux Philippines où il a rencontré
la guérilla et la résistance. Dans le sud de l’archipel,
dans la région du Mindanao musulman, le peuple Moro entretient
une lutte indépendantiste depuis l’invasion espagnole
au 16e siècle. La lutte s’est politisée dans
les années ’70, mais elle s’englue aujourd’hui
dans un interminable cycle de négociations et d’affrontements.
C’est à cette population, qui lutte mais qui souffre
surtout, que s’est intéressé Paul Hama-Prevost,
illustrant plusieurs facettes de la vie quotidienne dans le sud
des Philippines entre la pratique de la foi, la menace de la guerre
et la pauvreté omniprésente.
du 3 au 30 novembre
@ Centre Culturel Franco-Japonais
(voir carnet d’adresses)
Hurry 3000
www.kambanart.com
Figurine
+ photo + texte = ‘bande sculptée’. L’artiste
japonais Shin-ichiro Natsusaka a décidé que la BD
ne devait pas rester dans des albums, mais plutôt s’animer
sous forme de figurines. Il crée ses personnages à
partir de BD (Moebius, Bilal) ou de films (‘L’étrange
Noël de M. Jack’ de Tim Burton), les place dans un décor
et anime ainsi des récits en trois dimensions. Après
Kambanart, sa nouvelle création ‘Hurry 3000’
met en scène un super-héros du XXXe siècle
( !!) qui revient à la vie pour sauver le monde…le
tout à partir de figurines et sur fond de dessins : un travail
d’orfèvre.
exposition du 5 au 29 novembre
@ galerie Job’Art
25 rue Keller, Paris 11e
ouvert tlj 12 :00/20 :00
Calligraphies anciennes
et contemporaines (8e - 21e siècle)
www.kokoroorientalart.com
Plus
de 1400 ans d‚histoire du Japon en 25 calligraphies. La galerie
Kokoro a réuni en une poignée d'œuvres exceptionnelles
comme un condensé de l‚histoire de la calligraphie
japonaise. Les plus anciennes, des fragments de sutra des périodes
Nara (710-794) et Heian (794-1184), sont même réalisées
à l‚or fin sur du papier indigo.
du 19 novembre au 12 décembre
@ galerie Kokoro
56 rue Quincampoix, Paris 1er
01 48 04 30 18 / 06 03 01 40 44
céramiques raku de
Tien-Wen
www.ccfj-paris.org
Artiste
taïwanaise imprégnée de culture occidentale,
Tien Wen a emprunté à l‚art japonais de la céramique
la technique du raku. Elle obtient par la rigueur et le hasard du
feu des œuvres épurées, aux lignes simples et
proches du matériau.
du 3 au 27 novembre
@ Centre Culturel Franco-Japonais
(voir carnet d‚adresses)
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musiques
contemporaines du Japon
Adepte
de l’électroacoustique lo-fi et de l’enregistrement
sur bandes des sons du quotidien, Aki Onda est flatté par
la critique mais ses performances scéniques sont rarement
des moments inoubliables. Il sait néanmoins s’entourer
de musiciens aux styles variés, toujours dans une esthétique
minimaliste, comme sur ses trois albums précédents
(Noël Akchote, Mami-chan…) et comme lors de ce concert
avec le guitariste Alan Licht. Lui aussi aime les collaborations
(Arto Lindsay, Jim O’Rourke), le free-jazz et les boucles
sonores qui composent ses pièces pour guitares ou pour orgues.
Une rencontre entre deux facettes de la musique minimaliste actuelle,
avec en première partie un autre duo inattendu. Jojo Hiroshige,
guitariste du groupe culte et hystérique Hijokaïdan,
tout en guitares lourdes et voix écorchée + le duo
nippon hypnotique Doodles.
le jeudi 18 novembre, 20 :30
@ Point Ephémère
190 quai de Valmy, Paris 10e
entrée 8 euros
01 40 34 02 48 / www.poinephemere.org
Le lendemain aux Voûtes, soirée noise et free music
marquée par la présence de Jean-François Pauvros,
guitariste bruyant et icône de la musique improvisée
française, et les mange-disques de Dustbreeders. Curieuse
coïncidence, ils se produiront tous les deux avec des ‘guest-star’
japonaises dont les noms sont tenus secrets… www.kokeko.net
le vendredi 19 novembre
@ Les Voûtes
91 quai Panhard&Levassor, Paris 13e
entrée 8 euros
www.lesvoutes.org
Nettement
moins expérimentale, la soirée ‘Japan is not
only sushi’ invite des Dj’s groove et électro
: Fisherman-price, Umaibo Daisuki et la japonaise Venus Fly-trapp
(voir Tokyozone dans la rubrique ‘Nouveautés’),
le Vj Aï-Hz, un stand du select-shop ‘culotte’
et le collectif de graphistes pineapplefish.
le samedi 20 novembre de 19 :00 à 02 :00
@ OPA
9 rue Biscornet, Paris 12e
Jazz : Masayoshi Urabe /
Sachi b
Pour
qui s’intéresse aux musiciens japonais, impossible
d’ignorer Masayoshi Urabe. Saxophoniste hors-pair, hors des
sentiers battus, contorsionniste et expérimentateur. Urabe
était en tournée le mois dernier mais pas le temps
de raccrocher les instruments : il est attendu en solo au Studio
Shala le dimanche 14 novembre à 18 :00, 8 rue Beaumarchais,
à Montreuil (M° Croix de Chavaux, entrée 10 euros
+ boisson – réservation conseillée 01 48 51
01 94).
Dans le cadre du festival Jazzycolors 2004 aura lieu le premier
concert de Sachi.B. ‘Sachi’ pour Sachiko Koike, la voix
du groupe Mah-Jong, qui chante du jazz comme elle sait si bien le
faire accompagnée du batteur Ichiro Onoe, du pianiste Eric
Yamamoto et du contrebassiste Duylinh Nguyen. Le concert aura lieu
le jeudi 18 novembre au Centre Culturel Tchèque, 18 rue Bonaparte,
dans le 6e arrondissement (à 20 :00, entrée 8 et 5
euros – 01 53 73 00 22 / http://www.czechcentres.cz/paris/novinky.asp).
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J
Dance 2004
www.mcjp.asso.fr
Jung Young-doo, jeune danseur et chorégraphe sud-coréen,
vient de remporter au Japon les deux prix du Yokohama Dance Collection
2004, qui permet depuis 1996 aux étoiles de la danse moderne
japonaise de venir présenter leurs créations aux soirées
J Dance de la Mcjp. Après les venues de Kim Itoh, Takeshi
Yazaki, ou Jô Kanamori, Jung Young-doo annonce un programme
minimaliste. Trois chorégraphies au style dépouillé
et sensuel, dont le duo récompensé à Yokohama,
‘Ne pas tomber’. Dans cette pièce intimiste,
exécutée au son d’une sorte de violon coréen,
le haegeum, la partenaire de Young-doo évolue sur le danseur,
s’accrochant à lui et essayant de ne jamais toucher
le sol.
photo © Yoichi Tsukada
les 19 et 20 novembre, 20 :30
@ Maison de la Culture du Japon
(voir carnet d’adresses)
tarifs : 12 et 15 euros (10 et 12 en TR)
Absence, duo butô
de Juju Alishina et Ippei Hosaka
http://dansenuba.9online.fr/
Formée à la danse traditionnelle et fondatrice de
la compagnie ‘Nuba’, Juju Alishina enseigne et danse
un nouveau style de danse buto. Entre le classique et l’avant-garde,
comme dans ses précédents spectacles présentés
à Paris, où elle vit et travaille (‘Kaï’,
‘Rien à casser dans le noir’). ‘Absence’
est la dernière création de Juju Alishina, composée
de deux chorégraphies en solo puis en duo (avec Ippei Hosaka).
photo © Thomy Laetsch
les mardi 23 et mercredi 24 novembre, 20 :30
@ Espace Culturel Bertin Poirée
(voir carnet d’adresses)
www.tenri-paris.com
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L’esprit
du bambou : dédicace du livre de Dominique Buisson
www.itineraires.com
Artisanat,
architecture, peinture, mobilier, accessoires… On ne compte
plus les usages que les Japonais font du bambou, « matériau
fondamental (qui) a façonné l’imaginaire, l’esthétique
et la vie quotidienne de tout un peuple » comme l’écrit
Dominique Buisson. Cette spécialiste de l’esthétique
japonaise (elle est l’auteur de 6 livres sur le papier, l’artisanat,
l’architecture, le corps au Japon) et professeur d’arts
plastiques dédicacera à la librairie Itinéraires
« L’esprit du bambou au Japon » (éditions
P.Picquier, 2004).
le samedi 13 novembre à partir de 16 :00
@ librairie Itinéraires
60 rue St-Honoré, Paris 1er
lundi-samedi, 10 :00/19 :00
Mishima vu par l’écrivain
Keiichirô Hirano
www.mcjp.asso.fr
Lauréat du glorieux prix Akutagawa (le Goncourt nippon) à
seulement 23 ans avec son premier roman, ‘L’éclipse’
(voir photo), le jeune auteur Keiichirô Hirano a vite été
comparé à Mishima : jeune âge mais maturité
de l’écriture, langue précieuse, récits
empreints de métaphysique… L’admiration de Hirano
pour Mishima est réelle, d’où l’invitation
de la Mcjp pour parler des œuvres du grand auteur japonais,
particulièrement ‘Le pavillon d’or’. Reste
à savoir si cette admiration ne se berce pas de quelques
illusions lorsque Keiichirô Hirano affirme : « aujourd’hui,
nombre de Japonais, y compris la nouvelle génération,
reconnaissent la justesse des prédictions de Mishima, et
cherchent dans ses paroles des solutions ».
le jeudi 2 décembre, 17 :30
@ Maison de la Culture du Japon à Paris
(voir carnet d’adresses)
entrée libre sur réservation : 01 44 37 95 01
Photos : DR
Réalisé par Guillaume Loiret et Postics
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